Raymond Germanos Lefèbvre : Les énergies fossiles au Canada et impacts de leurs exploitations sur le pays

Publié le par Raymond Germanos Lefèbvre

Le gouvernement fédéral du Canada milite pour l’exploitation des énergies fossiles du pays. Selon une étude pourtant, une exploitation accrue pourrait mettre en danger l’existence de la société canadienne selon Raymond Germanos Lefèbvre.


L’importance des énergies fossiles pour le Canada


Le Canada a toujours constitué un  fournisseur important concernant les services énergétiques au niveau des marchés mondiaux. Le succès économique du pays est dû à une abondante richesse de ressources énergétiques, lui permettant d’être le principal fournisseur de ressources énergétiques pour les américains. Grâce aux industries des combustibles fossiles de l’Ouest canadien, jouissant d’une abondance de ressources naturelles, l’avenir des énergies fossiles est assuré pour le Canada.  Les énergies fossiles réunies les ressources en pétrole, gaz naturel et charbon. Le Canada constitue ainsi l’un des pôles majeurs dans le monde concernant le secteur de l’énergie. Par exemple, le charbon est très utilisé dans la production d’énergie thermique par combustion. Le pétrole peut être utilisé comme système de chauffage au fioul et la production d’électricité de masse dans les centres thermiques.


Les problèmes engendrés par les énergies fossiles et les solutions


Le fait de brûler les réserves des énergies fossiles mettraient en danger l’existence de la société canadienne. Plus des réserves d’énergie fossile sont brûlées, plus le pays subit des perturbations climatiques sans précédent. Selon une étude, la majorité des fossiles devraient restée dans le sous-sol, soit garder 80% des réserves dans le sol. Pour l’Agence Internationale de l’énergie, la hausse des températures sur la planète atteint 5,3°C en comparaison avec l’époque préindustrielle. Pour le Groupe d’experts intergouvernemental, la solution serait de limiter la concentration de CO2 entre 350 et 400 particules par million (ppm). Pour le gouvernement du Canada, alors que les émissions de GES ont augmenté de plus de 25 p.100 depuis 1990, il faut diminuer les émissions de 20 p.100 d’ici 2020.

 

Raymond Germanos Lefèbvre

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